InBody Oncologie

Fournissez des stratégies d’intervention plus précoces pour la prévention de la progression de la maladie en oncologie

Pourquoi l'analyse de la composition corporelle est-elle un outil efficace pour le traitement du cancer ?

Les impédancemètres professionnels InBody fournissent une méthode rapide, facile, non invasive et précise pour évaluer les risques pour la santé et les effets des interventions en oncologie. En moins de 60 secondes, le Bilan InBody permet de :

Surveiller les changements dans la composition corporelle pour améliorer les résultats et la qualité de vie des patients
Évaluer l’intégrité cellulaire pour évaluer le risque de malnutrition
Identifier les déséquilibres hydriques et le risque de lymphœdème pour une intervention plus précoce

Analyse Muscle-graisse

Définir des stratégies pour favoriser le maintien musculaire

L’apparition, la progression et le traitement de la maladie peuvent entraîner des changements dans la composition corporelle malgré le maintien du poids, ce qui serait ignoré par l’IMC. L’évaluation de l’équilibre muscle-graisse permet aux professionnels de l’oncologie de surveiller les effets du traitement pour éviter une aggravation des résultats. Par rapport aux patients cancéreux ayant un indice de muscle squelettique (IMS) élevé, Sugimara et al. (2022) ont constaté que les patients avec un faible IMS avaient une survie significativement plus faible. Pour cette raison, il est particulièrement important de suivre les changements dans la composition corporelle en oncologie, car les patients atteints de cancer sont souvent confrontés à une perte musculaire, à un gain de graisse ou à une combinaison de ces facteurs. Lorsque ceux-ci se produisent simultanément, le poids peut ne pas changer de manière significative, ce qui fait de l’IMC un mauvais indicateur de changement physiologique.

Une perte et une fonction musculaires sévères sont souvent associées à des résultats indésirables et à une diminution de la survie (Qin et al. 2022). Dans leur étude de 2022 évaluant la sarcopénie chez les patients atteints de leucémie myéloïde, Qin et al. ont constaté que la perte de poids consécutive à la chimiothérapie était principalement due à la perte de masse musculaire et de teneur en eau. L’eau intracellulaire, le liquide riche en potassium dans les muscles et la circonférence du bras avaient une association significative avec l’incidence de la sarcopénie. En surveillant des mesures objectives des muscles, de la graisse et de l’eau, les professionnels de la santé peuvent évaluer les changements physiologiques et les symptômes associés à la malnutrition et à la cachexie cancéreuse.

Angle de phase corps entier

Suivre l'effet des immunothérapies en surveillant la santé des cellules

Le cancer et les traitements contre le cancer endommagent les cellules, compromettent la fonction immunitaire et réduisent l’intégrité cellulaire. En suivant l’angle de phase, les spécialistes de l’oncologie peuvent surveiller la santé cellulaire des patients pour une détection plus précoce des symptômes/de la progression de la maladie.

L’angle de phase, une mesure de la façon dont les cellules réagissent aux courants électriques utilisés pour mesurer la composition corporelle, reflète l’intégrité de la membrane cellulaire et a été lié à la survie dans diverses populations oncologiques, comme le montre Hui, D. et al., 2017 pour les patients avec cancer avancé (p = 0,048). Lorsque les cellules sont saines, elles peuvent mieux résister à ces courants utilisés par InBody, ce qui se traduit par un angle de phase plus élevé. Étant donné que le cancer et diverses modalités de traitement endommagent les cellules avant la perte de masse musculaire et graisseuse, cette diminution de l’angle de phase peut être liée à la malnutrition liée au cancer et à d’autres risques/conditions médicales. En surveillant les angles de phase segmentaires et du corps entier, les oncologues peuvent identifier le risque de comorbidités spécifiques, suivre plus précisément les effets des immunothérapies et fournir des stratégies d’intervention plus précoces pour prévenir la progression de la maladie. Hui et al. (2017), a déclaré InBody comme un « objectif, l’outil de pronostic non invasif et relativement peu coûteux peut être utile pour soutenir la prise de décision clinique en oncologie ».

analyse de l'eau corporelle segmentaire & corps entier

Identifier le liquide localisé pour détecter les problèmes de circulation liés au cancer

Le cancer entraîne une perte musculaire et compromet les organes et les fonctions cellulaires, ce qui peut entraîner une inflammation systémique ou un œdème. Les impédancemètres professionnels InBody peuvent suivre avec précision les changements de fluides dans tout le corps pour comprendre la cause des niveaux de fluides déséquilibrés.

InBody distingue efficacement l’eau dans les compartiments intracellulaire (EIC ; dans les tissus) et extracellulaire (EEC; dans le sang et les fluides interstitiels) qui composent l’eau corporelle totale (ECT). L’indice d’œdème, basé sur le rapport entre EEC et ECT , peut être utilisé pour distinguer les déséquilibres hydriques résultant de la malnutrition ou de l’œdème. La gestion des augmentations de l‘indice d’œdème est une priorité pour améliorer les résultats des patients.

En raison de la forte teneur en eau des muscles, la perte de masse musculaire entraîne une réduction de l’EIC et entraîne une augmentation de l’indice d’œdème. Ainsi, l’indice d’œdème peut être utilisé pour identifier la malnutrition séparément des autres déséquilibres hydriques liés à la maladie. Étant donné que les symptômes du cancer sont associés à une inflammation systémique accrue, les déséquilibres hydriques progressifs sont liés à de mauvais résultats pour les patients. Le lymphœdème est un effet secondaire courant du traitement en oncologie. Un lymphœdème non contrôlé peut entraîner des déficiences physiques telles qu’une diminution de la force et de la fonction qui peut s’étendre à des effets émotionnels tels que l’anxiété, la peur et une diminution de la confiance en soi. À cause de cela et d’autres comorbidités comme un dysfonctionnement rénal ou cardiaque, une détection précoce et un traitement intensif sont essentiels. Cho et al. dans leur publication Frontiers in Oncology de 2020, « InBody a été facile à mettre en œuvre car il permet la quantification indirecte du liquide extracellulaire ». en utilisant l’indice d’œdème. Par rapport aux mesures standard du lymphœdème, ils ont trouvé InBody significativement corrélé et peuvent donc être un « outil pratique pour surveiller la mesure des résultats après le traitement du lymphœdème« . Au-delà de cela, InBody est « plus sensible aux changements subtils du lymphœdème et peut être utilisé pour le maintien à long terme du lymphœdème ».

InBody simplifie le processus de dépistage du lymphœdème car l’analyse EEC peut « prédire la présence d’un lymphœdème unilatéral ou bilatéral des jambes en une seule mesure (Yasunaga et al. 2021) » sans avoir besoin d’autres références, ce qui la rend facile à utiliser pour le patient et le clinicien.

Nos innovations font la différence

Nos analyseurs de composition corporelle utilisent une technologie innovante, en quatre piliers technologiques permettant d’obtenir des résultats précis et fiables.

Mesure Segmentaire Directe

La mesure segmentaire directe divise le corps en cinq cylindres distincts (Bras droit, bras gauche, tronc, jambe gauche et jambe droite) et mesure l’impédance de chaque segment

Multifréquences

Les appareils InBody utilisent des mesures multifréquences pour mesurer l’eau extracellulaire (ECW) et l’eau Intracellulaire (ICW) afin d’afficher avec précision l’eau corporelle totale et la composition corporelle.

Electrodes Tactiles à 8 Points

Les appareils InBody utilisent 8 électrodes tactiles, y compris des électrodes de pouce. InBody commencent toujours au même point. Ces éléments permettent une plus grande reproductibilité.

Pas d'Estimation Empirique

La technologie InBody reflète avec précision la santé des patients, éliminant ainsi le besoin de données empiriques (hypothèse de composition corporelle basées sur des facteurs tels que l’âge, le sexe, la taille).